L’écotourisme : notion et application

L’écologie est devenue la science la plus en vue depuis la découverte du réchauffement climatique. C’est dans cette optique que l’on parle aussi d’écotourisme ou de tourisme vert. Mais que comprendre par l’écotourisme et quels en sont les modalités ?

L’écotourisme : comment cerner le concept ?

Comme son nom l’indique, c’est un concept associant le tourisme à l’écologie. Ce concept se veut non seulement être l’antagoniste du tourisme de masse, mais aussi réparatrice de ses dégâts. C’est dans ce but qu’elle favorise la visite des lieux ruraux, des jardins écologiques, des agrosystèmes dans un sens. Dans l’autre sens, les réserves naturelles, les écosystèmes sont les lieux que l’écotourisme prône. Cette sorte de tourisme se veut durable, c’est ainsi que l’écoresponsabilité est son leitmotiv, ce qui vise à protéger les ressources des lieux uniques. Ces mêmes ressources qui piquent la curiosité au point d’en faire le voyage pour les visiter. Une des formes d’écotourisme phare en Afrique est le Safari-Photo.

L’écotourisme : L’application des modalités

Appliquer l’écotourisme revient à vulgariser ses valeurs telle la responsabilité de préservation des sites, la promotion des sites « verts ». Les agences de tourisme, qui applique cette forme de tourisme se charge d’engager des éco-volontaires ou de les former. Ceux-ci apprennent les valeurs à inculquer aux touristes lors des différentes randonnées. Ainsi dans l’environnement les conseils pour sa protection sont donnés par les volontaires, ce qui évite le système assez soporifique de la théorie. Par ailleurs, les agences de tourisme se chargent de mettre sur pieds des hébergements de styles écologiques. Ce sont des hébergements qui sont certifié écolabel, label qui permet d’établir que ces hébergements ont un impact négatif réduit sur l’environnement. Cela revient à vérifier la qualité des bois et de juger si les constituants sont recyclables ou biodégradables. Si les touristes sont écoresponsables, ils vérifient que les voyages ou expéditions le sont aussi. Ce qui force dans une certaine mesure les compagnies à prioriser le tourisme vert.